Ma vie amoureuse avec ma femme - atteinte de ce qu'on appelle joliment l'anaphrodisie - étant très pauvre (notre dernier rapport remonte à février 2015 !), la masturbation constitue l’essentielle de mon activité sexuelle.
Pour autant, je n’en souffre pas car, d’une part, nos « ébats » pâtissent du manque d’imagination de ma femme dans ce domaine et ne m’apporte pas plus de plaisir que celui de l’éjaculation, et d’autre part, j’ai vécu, il y a plusieurs années maintenant, une relation avec une amie de longue date qui était tellement complice et exceptionnelle que je ne pense pas pouvoir revivre ça avec quelqu’un un jour.
Je n'ai jamais été pas accro à la pornographie qui en règle générale ne m’excite pas du tout. Je me masturbe principalement pour des personnes de mon entourage. Après plusieurs décennies de masturbations, j’ai même imaginé des petits jeux pour pimenter ma vie sexuelle solitaire… En temps normal, ma fréquence de masturbation est d’environ 5 à 12 fois par semaines.
Tout irait donc bien dans le – presque – meilleurs des monde, si il n’y avait pas ces dérapages essentiellement dus au stress du boulot, qui se traduisent par une augmentation significative du nombre de masturbation qui peut vite atteindre 2 à 3 fois par jours, et travaillant seul chez moi, je n’ai aucune limite « sociale » pour restreindre cette boulimie.
Pendant ces périodes, je me masturbe, non par besoin, ni même gourmandise, mais par dépendance, une masturbation en appelant une autre, dès que mon sexe est en état d’être à nouveau secoué. Je commence alors à perdre du temps sur des sites érotiques (très rarement pornographiques), essentiellement amateurs parce que les fantasmes que je cultive sur les femmes de mon entourage ne suffisent plus à m’exciter.
C’est généralement après quelques semaines de ce qui ressemble à un esclavage que, fatigué par cet excès de masturbation, je prends conscience de ma dépendance et que je décide de pratiquer l’abstinence. Evidemment, les premiers jours ne sont pas simples car mon cerveau et mon corps réclament la jouissance et je dois m’armer de volonté pour tenir. Mais, parce que j’en ai également une longue expérience, je connais les bienfaits de l’abstinence, au premier rang desquels un sursaut d’énergie et de confiance en soi, une diminution significative de la fatigue.
Pour autant, l’abstinence n’est pas un long fleuve tranquille et l’envie d’une masturbation peut me cueillir à chaque instant et me bouffer tout mon esprit au point de ne plus pouvoir bosser. Il y a des techniques pour y faire front : sortir faire un tour par exemple. Généralement, ça ne dure pas. Il faut juste tenir.
Enfin, je dois reconnaitre un certain goût, depuis mon adolescence, pour le crossdressing que, travaillant seul chez moi, j'ai la chance pouvoir laisser s'exprimer avec une certaine liberté mais toujours secrètement.
Pour autant, je n’en souffre pas car, d’une part, nos « ébats » pâtissent du manque d’imagination de ma femme dans ce domaine et ne m’apporte pas plus de plaisir que celui de l’éjaculation, et d’autre part, j’ai vécu, il y a plusieurs années maintenant, une relation avec une amie de longue date qui était tellement complice et exceptionnelle que je ne pense pas pouvoir revivre ça avec quelqu’un un jour.
Je n'ai jamais été pas accro à la pornographie qui en règle générale ne m’excite pas du tout. Je me masturbe principalement pour des personnes de mon entourage. Après plusieurs décennies de masturbations, j’ai même imaginé des petits jeux pour pimenter ma vie sexuelle solitaire… En temps normal, ma fréquence de masturbation est d’environ 5 à 12 fois par semaines.
Tout irait donc bien dans le – presque – meilleurs des monde, si il n’y avait pas ces dérapages essentiellement dus au stress du boulot, qui se traduisent par une augmentation significative du nombre de masturbation qui peut vite atteindre 2 à 3 fois par jours, et travaillant seul chez moi, je n’ai aucune limite « sociale » pour restreindre cette boulimie.
Pendant ces périodes, je me masturbe, non par besoin, ni même gourmandise, mais par dépendance, une masturbation en appelant une autre, dès que mon sexe est en état d’être à nouveau secoué. Je commence alors à perdre du temps sur des sites érotiques (très rarement pornographiques), essentiellement amateurs parce que les fantasmes que je cultive sur les femmes de mon entourage ne suffisent plus à m’exciter.
C’est généralement après quelques semaines de ce qui ressemble à un esclavage que, fatigué par cet excès de masturbation, je prends conscience de ma dépendance et que je décide de pratiquer l’abstinence. Evidemment, les premiers jours ne sont pas simples car mon cerveau et mon corps réclament la jouissance et je dois m’armer de volonté pour tenir. Mais, parce que j’en ai également une longue expérience, je connais les bienfaits de l’abstinence, au premier rang desquels un sursaut d’énergie et de confiance en soi, une diminution significative de la fatigue.
Pour autant, l’abstinence n’est pas un long fleuve tranquille et l’envie d’une masturbation peut me cueillir à chaque instant et me bouffer tout mon esprit au point de ne plus pouvoir bosser. Il y a des techniques pour y faire front : sortir faire un tour par exemple. Généralement, ça ne dure pas. Il faut juste tenir.
Enfin, je dois reconnaitre un certain goût, depuis mon adolescence, pour le crossdressing que, travaillant seul chez moi, j'ai la chance pouvoir laisser s'exprimer avec une certaine liberté mais toujours secrètement.